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Mars
Prévention du « jeu de la baleine bleue »
Par Vanessa Rippon • Publié le 19/03/2018
Par Vanessa Rippon • Publié le 19/03/2018
Depuis quelques semaines, un jeu dangereux touche les enfants et les adolescents. Ce jeu dénommé « bleu whale challenge » ou « jeu de la baleine » fonctionne sur le principe du parrainage. Un « tuteur » lance une cinquantaine de défis à la dangerosité croissante : regarder des vidéos effrayantes, se dessiner une baleine sur le bras, écouter de la musique dépressive, …. , allant ensuite jusqu'à l’automutilation jusqu’à un comportement suicidaire, ultime étape de la « progression » (sauter du haut d’un immeuble, se pendre… ).
Les enfants qui participent à ce jeu doivent poster sur internet des photos ou vidéos de leurs défis. S’ils abandonnent, ils reçoivent des menaces de leur « tuteur ».
Tous les membres de la communauté éducative (parents, enfants, enseignants) doivent adopter la plus grande vigilance face à ce jeu qui peut attirer des jeunes vulnérables, en pleine construction de leur identité, face à la pression du groupe.
Afin de sensibiliser les élèves, les parents et l’ensemble de l’équipe éducative, j’invite chacun à la plus grande attention. Les comportements inquiétants sont à signaler à l’école, aux professionnels de santé, mais également au service de police ou de gendarmerie.
Ce phénomène, est considéré comme du cyber-harcèlement et relève de la provocation au suicide et de ce fait est pénalement réprimé (5 ans de prison et 75 000 euros d'amende).
Il touche principalement les jeunes, souvent en fragilité psychologique et se diffuse via les réseaux sociaux (instagram, twitter, facebook, snapchat).
M. Duc
eduscol.education.fr/cid47712/jeux-dangereux-pratiques-violentes.html
Les enfants qui participent à ce jeu doivent poster sur internet des photos ou vidéos de leurs défis. S’ils abandonnent, ils reçoivent des menaces de leur « tuteur ».
Tous les membres de la communauté éducative (parents, enfants, enseignants) doivent adopter la plus grande vigilance face à ce jeu qui peut attirer des jeunes vulnérables, en pleine construction de leur identité, face à la pression du groupe.
Afin de sensibiliser les élèves, les parents et l’ensemble de l’équipe éducative, j’invite chacun à la plus grande attention. Les comportements inquiétants sont à signaler à l’école, aux professionnels de santé, mais également au service de police ou de gendarmerie.
Ce phénomène, est considéré comme du cyber-harcèlement et relève de la provocation au suicide et de ce fait est pénalement réprimé (5 ans de prison et 75 000 euros d'amende).
Il touche principalement les jeunes, souvent en fragilité psychologique et se diffuse via les réseaux sociaux (instagram, twitter, facebook, snapchat).
M. Duc
eduscol.education.fr/cid47712/jeux-dangereux-pratiques-violentes.html
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